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Publications

Vaidis, D. C. F., & Halimi-Falkowicz, S. G. M. (2008). Increasing compliance with a request: two touches are more effective than one. Psychological Reports, 103, 82-92.

Touch procedures have been shown to increase the likelihood of compliance with requests. But the effects of subsequent touches following a classical touch procedure has not been investigated. It was predicted that two touches would lead to more compliance than one touch. 180 male and 180 female bystanders were asked to fill in a short or long questionnaire by a female confederate. They were touched by the confederate either once, twice, or not at all. Results showed that there was more compliance in the two-touch than in the one-touch condition, and when the participants were touched by the confederate. These findings support the hypothesis. Moreover, whereas participants were less likely to fill in the long questionnaire in the no-touch condition, touch procedures lead to more compliance whatever the questionnaire length. As a general result, touch was more effective when a female confederate made the request to a male participant.

Gabarrot F., & Vaidis D. (2007). Comment lire un article scientifique en psychologie sociale ? Revue électronique de Psychologie Sociale, 1, 65-76.

Lorsqu’il aborde pour la première fois la littérature scientifique en psychologie sociale, le lecteur peu habitué à ce genre d’écrits est très souvent intimidé, voire dérouté, et ce qui devrait être un passionnant récit des travaux du chercheur devient un décryptage laborieux. Généralement, le lecteur profane entreprend de lire cet article comme n’importe quelle autre pièce de prose, phrase après phrase, mot après mot. Toutefois, il apparaît que cette stratégie ne soit pas appropriée lorsque le lecteur n’est pas habitué à la littérature scientifique, à son jargon et à ses outils. Il est toutefois remarquable que les publications scientifiques suivent en réalité une structure très précise qui a pour objectif de faciliter la lecture et permettre de suivre les idées du chercheur. Cet article se propose d’apporter une aide à la lecture d’articles scientifiques en analysant les différents types de publications, et en apportant quelques techniques de lecture lors des premiers abords. Nous pensons qu’après avoir décodé la structure générale d’un article, le lecteur abordera plus sereinement cette forme particulière de littérature.
Accessible gratuitement et librement à l’adresse suivante : <http://RePS.psychologie-sociale.org>.

Vaidis D., & Halimi-Falkowicz S. (2007). La théorie de la dissonance cognitive : une théorie âgée d’un demi-siècle. Revue électronique de Psychologie Sociale, 1, 9-18.

Pour la théorie de la dissonance cognitive, l’année 2007 est une date anniversaire. En effet, voilà cinquante ans, Festinger publiait l’ouvrage princeps sur la théorie, devenue depuis une théorie majeure de la psychologie sociale. Selon la théorie de la dissonance cognitive, lorsque les circonstances amènent une personne à agir en désaccord avec ses croyances, cette personne éprouvera un état de tension inconfortable appelé dissonance, qui, par la suite, tendra à être réduit, par exemple par une modification de ses croyances dans le sens de l’acte. Notre article se propose de présenter cette théorie dans ses grandes lignes.
Accessible gratuitement et librement à l’adresse suivante : <http:// RePS.psychologie-sociale.org>.

Vaidis, D. (2006). Attitude et comportement dans le rapport cause-effet : Quand l’attitude détermine l’acte et quand l’acte détermine l’attitude. In Sophie Hamon et Mathieu Amy (coord.) Linx, La cause : approche pluridisciplinaire, n°54 (pp. 103-111). Paris : Presse Universitaire de Paris 10.

Cet article se propose de traiter de la relation cause-effet entre les attitudes et les comportements à travers deux champs théoriques classiques de la psychologie sociale expérimentale : la persuasion et la dissonance cognitive. La relation entre attitude et comportement occupe une place centrale dans la psychologie sociale. Cette discipline, majoritairement expérimentale aujourd’hui, étudie les comportements, les états mentaux et processus mentaux chez l’Homme en société. Conformément à la méthodologie expérimentale, seules quelques variables manipulées font l’objet d’une modification. Quand toutes choses égales par ailleurs, ces seules variables sont responsables d’une modification de l’état initial, il est possible de parler d’une relation de cause à effet. L’introduction volontaire de ces variables est appelée manipulation expérimentale. En psychologie sociale, l’établissement d’un lien entre les attitudes et les comportements permet différentes applications pratiques. Si l’expérimentateur manipule l’attitude d’un individu, il peut modifier ses comportements : on parle alors de manipulation persuasive. Les manipulations comportementales, telles qu’elles sont utilisées par la théorie de la dissonance cognitive, proposent quant à elle un cheminement contraire : En modifiant un comportement, l’expérimentateur génère un changement d’attitude. Ces deux processus sont illustrés.

Mémoires/Dissertations

Vaidis, D. (2008). Degré d’Inconsistance, Engagement, et Information : Ré-Explorations dans le Champ de la Dissonance Cognitive. Thèse de doctorat en psychologie. Université Paris Ouest Nanterre La Défense.[Degree of Discrepancy, Commitment, and Information:Re-Explorations in Cognitive Dissonance. PhD Dissertation in psychology]

Pour faire survivre la théorie de la dissonance cognitive face aux réinterprétations rivales, les théoriciens successifs ont pensé nécessaire de modifier l’essence de la théorie et de restreindre son champ d’application. C’est ainsi que plusieurs conditions nécessaires à l’éveil de la dissonance sont venues s’inscrire dans les paradigmes de la dissonance. Au regard de la littérature, il s’avère toutefois que les méthodologies utilisées pour appuyer ces conclusions souffrent de lacunes importantes, et qu’il existait en réalité des moyens autres pour permettre à la théorie de mettre en porte-à-faux ses rivales sans compromettre sa formulation initiale. Ainsi, plusieurs restrictions auraient été apportées à la théorie sans que cela soit réellement nécessaire, et la formulation initiale de Festinger en 1957 a été considérée insuffisante sans avoir fait l’objet d’une mise à l’épreuve formelle.
Cette thèse se propose de ré-explorer 50 années d’expérimentations et de théorisations sur la dissonance cognitive. Dans le cadre de ce travail, la formulation princeps a été confrontée aux principales reformulations théoriques, dont notamment celles reposant sur un engagement comportemental. Trois hypothèses clés étaient formulées : (a) l’amplitude de la dissonance est fonction de l’importance des cognitions impliquées ; (b) un engagement externe n’est pas nécessaire à l’éveil de la dissonance ; (c) une information inconsistante est suffisante pour générer de la dissonance en absence de comportement explicite.
Les expérimentations mises en place étayent ces hypothèses. Dans le cadre du paradigme de l’essai contre‑attitudinel, trois premières expérimentations (A1, A2, A3) ont montré une relation positive entre l’attitude initiale et l’amplitude de la dissonance, et ce même dans des conditions exemptes de facteur d’engagement. Dans le cadre du paradigme de la tâche fastidieuse, si une première expérimentation n’a pu confirmer nos hypothèses (B1), une seconde expérimentation (B2) a montré une relation positive entre le coût de la tâche et l’attrait pour la tâche, aussi bien en condition engagement fort qu’en condition engagement faible. Conjointement, ces résultats suggèrent qu’un engagement externe explicite n’est pas indispensable à l’éveil de la dissonance, et qu’une forte inconsistance permet des effets de dissonance en absence de facteur d’engagement. Enfin, à l’aide de mesures d’inconfort psychologique, les expérimentations mises en place dans le cadre de l’exposition à l’information inconsistante (C1, C2, C3) confirment que la simple exposition à une information inconsistante avec une cognition établie est suffisante pour générer un état de dissonance, cela même en absence d’engagement externe. Cette dernière approche nous a amené à proposer une distinction entre d’une part, une dissonance comportementale, et d’autre part, une dissonance informationnelle.
En conclusion, nos résultats soutiennent la formulation initiale de la théorie de la dissonance cognitive et montrent que l’usage d’une méthodologie idoine permet de reconsidérer l’inconsistante entre deux cognitions comme suffisante et nécessaire à l’éveil d’un état de dissonance. La conception actuelle de l’engagement au sein de la théorie de la dissonance est également discutée et plusieurs pistes de recherches sont proposées.

To save cognitive dissonance theory, contested by theoretical alternatives, theorists modified the core of the theory and restricted its field of application. As a result, several necessary conditions for the arousal of cognitive dissonance were added to the paradigms. Nevertheless, it turns out that methodologies supporting these conclusions suffer from important gaps, and there were in fact some other ways to save the theory without compromising the original theory. Thus, several limitations seem to be not necessary, and the original formulation of Festinger in 1957 has been discarded without being formally proven wrong.
This thesis intends to re-explore 50 years of experiments and theorizations on cognitive dissonance. The original formulation of the theory was confronted with the main theoretical reformulations, particularly those supporting behavioral commitment as a necessary condition. Three key hypotheses were formulated: (a) the magnitude of dissonance is a function of the importance of the involved cognitions; (b) an external commitment is not necessary for the dissonance arousal; (c) exposure to discrepant information is sufficient to generate cognitive dissonance without requiring an explicit behavior.
The designed experiments support these hypotheses. Using a counterattitudinal essay paradigm, the first three experiments (A1, A2, A3) showed a positive relation between the initial attitude and the amplitude of dissonance, and the same in conditions exempt of commitment. In the dull task paradigm, if a first experiment did not confirm our hypotheses (B1), a second experiment (B2) showed a positive relation between the cost of the task and the attitude toward the task, in high choice condition and in low choice condition. Collectively, these results suggest that an external explicit commitment is not necessary for the arousal of dissonance, and that a strong discrepancy allows effects of dissonance with no commitment. Finally, using psychological discomfort measures, the designed experiments in the framework of exposure to discrepant information (C1, C2, C3) confirm that one piece of information discrepant with an established cognition is sufficient to arouse cognitive dissonance, even without external commitment. In this latter approach, we suggest a distinction between on one hand, behavioural dissonance, and on the other hand, informational dissonance.
To conclude, our results support the original formulation of cognitive dissonance theory and assert that an appropriate use of methodology assure that discrepancy between two cognitions is a sufficient and necessary condition for dissonance arousal. The current conception of commitment within dissonance theory is also discussed and we offer several suggestions for future researches.

 

Vaidis, D. (2005). L’exposition à l’information inconsistante génère-t-elle encore de la dissonance ? Mémoire de Diplôme Européen d'Etudes Avancées en Psychologie Sociale (DEEAPS). Document non publié. Université Paris 10 - Nanterre. Université de Genève.

Cet article constitue une revue de questions sur une approche « oubliée » de la théorie de la dissonance cognitive : l’exposition à l’information inconsistante et son paradigme de l’infirmation des croyances. Après un aperçu de la monographie de Festinger en 1957 concernant l’exposition à l’information inconsistante, les rares études publiées sur cette approche sont présentées de manière détaillée et critique. Dans un second temps, plusieurs interprétations sont avancées pour expliquer la discrétion de cette approche, dont notamment des hypothèses en terme d’application, de concurrence théorique et de résistance idéologique. Enfin, un argumentaire théorique visant à distinguer une dissonance « comportementale » d’une dissonance cognitive est développé et des propositions théoriques sont proposées pour les recherches futures.

Soutenu le 14 Avril 2005à l' Université Paris 10 - Nanterre. Membres du Jury : Pr.P.Gosling, Pr.D.Oberlé, Pr.J.Vala (ISCTE, Lisbonne). Mention Très Bien.

Vaidis, D. (2003). Degré d'engagement, cognition inconsistante supplémentaire et menace du soi dans le paradigme de la tâche fastidieuse. Mémoire de DEA. Document non publié. Université Paris 10 - Nanterre, Bibliothèque UFR SPSE.

Selon la conception radicale de la théorie de la dissonance cognitive (Beauvois et Joule, 1981, 1999), l' ajout d' une cognition inconsistante supplémentaire aurait pour conséquence d' augmenter le taux global de dissonance, et de ce fait, l' importance du changement d' attitude. Néanmoins, la thèse proposée par ces auteurs se retrouve confrontée dans bien des cas à une autre réalité expérimentale : l' absence de changement d' attitude. Dans le cadre du paradigme de la tâche fastidieuse, Lecrique et Gosling (2003) ont montré qu' un feedback négatif en condition de fort engagement (i.e. publicité de l' acte et déclaration de liberté) amenait le sujet à utiliser des modes de réductions autres que le changement d' attitude (e.g. trivialisation de l' acte problématique, trivialisation de l' engagement). Ces auteurs apportent une explication de leurs effets en terme de menace du soi. L' engagement aurait conduit la performance à être perçue comme pleinement imputable au sujet et aurait conféré au feedback négatif un statut menaçant pour l' individu. Cela l' aurait amené à rompre le script d' obéissance (Channouf, 1991) et à employer un processus d' opposition (Clemence, 1988 ; absence de changement d' attitude et usage de la trivialisation).

Cette présente recherche a été conduite afin de préciser les effets d' un feedback négatif sur l' usage de modes de réduction de la dissonance cognitive en terme de menace sur le soi. Une première expérimentation a failli à la réplication des effets obtenus par Lecrique et Gosling, et se conforment à la théorie radicale. Une seconde expérimentation dans laquelle les sujets étaient davantage engagés dans la tâche a, quant à elle, répliqués partiellement les résultats de Lecrique et Gosling : la voie de réduction de la dissonance par changement d' attitude a été bloquée et les sujets ont réduit la dissonance en dévaluant la performance de l' expérimentateur. Des effets modérateurs de l' estime de soi et de l' expectation de réussite ont également été observés mais demandent à être répliqués. Toutefois, ces données semblent aller en faveur de l' explication en terme de menace pour le soi et tendent, de ce fait, à conforter la thèse de Lecrique et Gosling (2003). Enfin, différents problèmes inhérents à la mesure de la dissonance cognitive sont traités dans la discussion générale, et des moyens d' y remédier sont proposés. Un projet de recherche de thèse intégrant cette dernière partie y est présenté.

Mots-clés  : cognition inconsistante, dissonance cognitive, engagement, estime de soi, feedback d' échec, paradigme de la tâche fastidieuse.

Soutenu le 11 septembre 2003 à l' Université Paris 10 - Nanterre. Membres du Jury : Pr.D.Cupa, Pr.P.Gosling, Pr.M.Kreutzer, Pr.M.Imberty, Pr.G.Leboucher, Pr.D.Martins, Pr.T.Meyer, Pr.C.Sabatier, Pr.A.Sirota. Mention Très Bien.

Vaidis, D. (2002). Effets de l' exposition à l' échec répété sur les modes de réduction de la dissonance. Mémoire de Maîtrise. Document non publié. Université Paris 10 - Nanterre, Bibliothèque UFR SPSE.

Cette étude relevant d' une démarche exploratoire se propose de croiser deux champs théoriques de la psychologie sociale : la dissonance cognitive et la résignation acquise. Ces deux phénomènes de la vie sociale se rencontrent fréquemment et de ce fait sont susceptibles d' interagir l' un sur l' autre. Depuis une dizaine d' années, les recherches sur la dissonance cognitive portent principalement sur les facteurs amenant certains modes de réduction à émerger plus que d' autres et c' est donc dans cette perspective que la présente étude a été menée. En accord avec la théorie informationnelle de la résignation acquise, l' exposition prolongée à l' échec amènerait les individus à un état d' épuisement cognitif. Nous supposons que cette diminution des ressources cognitives peut amener les sujets à réduire leur état de dissonance de manière différente. Ainsi, la résignation acquise pourrait influencer l' apparition ou l' absence de certains modes de réduction de la dissonance cognitive. L' expérimentation que nous avons menée a cependant montré l' émergence de la fausse attribution. Cet effet dû au stress engendré par la tâche de privation de contrôle, semble relever davantage du biais expérimental. Néanmoins, des effets inattendus ont été observés dans une des conditions sans engagement et nous semblent intéressants. Cette étude soulève également un certain nombre de problèmes méthodologiques inhérents à l' expérimentation de ces phénomènes.

Mots-clés : dissonance cognitive, résignation acquise, échec, fausse attribution.

Soutenu le 24 septembre 2002 à l' Université Paris 10-Nanterre. Membres du jury : Pr.P.Gosling, Pr.T.Meyer. Mention Très Bien.

 

Rapport de Stage

Vaidis, D. (2004). Rapport de Stage de Validation du Titre de Psychologue. Mémoire de Stage. Document non publié. Université Paris 10-Nanterre, Bibliothèque UFR SPSE.

L' usage du titre de psychologue est régi par la loi n° 85-772 du 25 juillet 1985 publiée au J.O. du 26 juillet 1985. Suite à l' obtention d' un Diplôme d' Etudes Approfondies (DEA), la validation du titre doit passer par la validation d' un stage en milieu professionnel d' une durée minimum de 14 semaines (Arrêté du 26 décembre 1990). Le présent rapport s' inscrit dans cette perspective et fait suite à un stage de 14 semaines réalisé du 27 octobre 2003 au 31 janvier 2004 à raison d' en moyenne 3 jours par semaine dans une structure sociale du Val-de-Marne (94) : l' Association Point Ecoute de Fontenay-sous-Bois.

Une première partie présente le stage de validation du titre de psychologue, une seconde partie propose une réflexion autour de la pratique du psychologue : Ecart entre recherche et application dans le cadre des programmes d' intervention visant des changements d' attitude.

Soutenu en Juin 2004 à l'Université Paris 10 - Nanterre. Membres du jury : MCF-HDR.I.Attigui, Pr.T.Meyer.

 

Communications Affichées

Halimi-Falkowicz, S. & Vaidis, D. (2008). Compliance in a double touch procedure: tow touches are more efficient than one. Communication affichée au General Meeting of EAESP, Opatija, Croatia.

Halimi-Falkowicz, S., LoMonaco, G., & Vaidis, D. (2007). Déterminants de la représentation sociale du psychologue et recours au psychologue, chez des étudiants parisiens suivant un cursus Hors psychologie vs de Psychologie. Communication affichée au Colloque International de Psychologie de la santé 2007, Toulouse, France.


Halimi, S. & Vaidis, D. (2006). L'objectif de l'expérience comme source de variabilité dans les expériences sur la dissonance cognitive ? Deux premières études en condition contrôle. Atelier Conjonture de Société Française de Psychologie (SFP). Université Paris 5, 8 septembre 2006.


Halimi, S., Vaidis, D., & Joule, R.-V. (2005). Effet de la perception du « toucheur » par le « touché », et de la distance séparant le « toucheur » du « touché », sur l’acceptation d’une requête. 7ème Congrès International de Psychologie Sociale Appliquée (CIPSA). Rennes, Octobre 2005.


Vaidis, D., & Halimi, S. (2005). Effet de la variable libre choix sur la dissonance : le libre choix, simple pré-requis à l’éveil de la dissonance, ou variable continue modulant l’amplitude de la dissonance ? Congrès de la Société Française de Psychologie (SFP). Nancy, Septembre 2005.


Vaidis, D. (2005). Is exposition to factual information inconsistent with attitude generative of cognitive dissonance ? 14th General Meeting of the European Association of Experimental Social Psychology (EAESP). Würzburg, Allemagne, 19-23 juillet 2005.


Vaidis, D. (2005). Effets de l’exposition à une information externe inconsistante avec l’attitude des sujets cibles. 1ère Rencontre du Réseau Parisien de Psychologie Sociale (REPAPS). Université Paris 10, 30 mai 2005